La date de mise en ligne

► olimalia | le 19 novembre 2008 à 08:27
Voici comment ça marche: on peut préparer de billets à l’avance et les conserver “non publiés” ou à l’état de “brouillon enregistré”
En les appelant, ensuite, le blogueur peut les “publier”.
De plus, au moment de le faire, il est possible de choisir la date et l’heure qui apparaitront en tête du billet (la date de publication n’a donc rien à voir avec la date de rédaction , ni avec la date de mise en ligne.
Les commentaires, par contre, sont daté du moment où ils sont “envoyés”. Voilà pourquoi le premier commentaire de FX | le 19 novembre 2004 à 16:21, sur le billet daté du 16 (Retraite au flambeau) , montre que le premier lecteur à découvrir ce blog s’est pointé le lendemain de la mise en ligne.
Je vais d’ailleurs créer un billet sur mon propre blog, daté du 1er mai 2008, avec le texte du présent commentaire: étonnant, non ?
Adresse :
http://wanagramme.blog.lemonde.fr/2008/05/01/la-date-de-mise-en-ligne/

la faim du monde

Publié le jour de la grève au journal Le Monde, lundi 14 avril dernier, ce titre ambigu en Une de l’Huma percutait également une autre question d’actualité : l’homme serait-il à ce point corrompu par le démon, pour laisser un pan important de sa fratrie, mourir de faim * ?
Cette absence de sentiment fraternel serait-elle le prix payé pour un autre péché originel ?

ADAM FULMINE : « DO
MAD MEN FAIL ? DO U
MEAN I’M FOUL, DAD ? »

« MON DEFI A DU MAL !
MON DAD M’A FUI ! » LE
DEMON FUMA : « DALI ?
UN FOL DADA, MIME
D’UN FADA IMMOLÉ
DE LA FIN DU “MoMA” !

ADAM, UNE MODIF L’
ANIMA (ODE DU MLF…)
EMU, ADAM IL FOND
LA M’DAME DU FION !
ADAM, FILMÉ “NUDO”,
DOMINA LA MEUF D’
UN MODE MALADIF.

FI ! DU MAL DEMON, À
LA FAIM DU MONDE.

NB= “Foul” signifie “abject”… et le personnage de ce conte a quelques raisons de se poser la question, non ?

—————–
* 1 milliard d’individus vivent avec moins de 1$ par jour

Ne m’ relaisse pas (bis)

Ne m’ relaisse pas !
Il faut publier
Tout peut s’publier
Qui s’ensuit (dégâts)
Publier Pétra,
Le trip à Karnak
Et cacher l’arnaque
Au pouvoir d’achat
Publier ces moeurs
Qui choquent parfois
A coups de pourquoi
Ces cons d’électeurs
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas.

Moi je t’offrirai
Des souliers vernis
Comm’ les escarpins
De Carla Bruni.
Et puis j’irai faire
Les fonds de tiroirs
Pour qu’on puiss’ te voir
En collants panthère
Et si c’est la haine
Qui te pousse à bout
J’annulerai tout
Pour que tu reviennes
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas.

Ne m’ relaisse pas
J’ai déjà plombé
Tout notre budget
Pour des passe-droits
Mais je renflouerai
Les caiss ‘ de l’Etat
Quand on virera
Tous les assistés
J’ai déjà donné
Un cadeau royal
Le paquet fiscal
Aux privilégiés.
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas.

Tu verras comment
On se sent bien mieux
En diminuant
La pension des vieux.
Mais s’ils sont hargneux
Furieux qu’on les dupe
Ils n’auront pas mieux
Avec les heur’s sup
On peut ouvrir même
L’Université,
Pour qu’elle appartienne
A des fonds privés.
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas.

Ne m’ relaisse pas.
Je vais pas fâcher
Vincent Bolloré
Sur son yacht maltais
Ni l’ami Martin
Avec sa télé
Qui soir et matin
Me fait tant briller.
Je veux devenir
Le pouvoir de l’ombre
Le pouvoir du nain
Le pouvoir divin.
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas
Ne m’ relaisse pas.


(d’après Jacques Brel) – Wana, le 12 avril 2008

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