J’ai trouvé, parmi les « chroniques d’abonnés » du site lemonde.fr, un intéressant développement (dont j’ai fait le commentaire ici), à propos de voyages inter galactiques super rapides et même instantanés.
Il s’agit de passer à travers une singularité de Planck : un minuscule trou dans l’espace-temps qui durerait un peu plus que cent milliardièmes de milliardième de milliardième de milliardième de milliardième de seconde (*).
C’est assez compliqué à expliquer, mais, grosso modo, le procédé consiste à placer une grosse pastèque dans le bulbe supérieur d’un énorme sablier… et hop ! La pastèque disparaît et se retrouve instantanément et entièrement reconstituée dans le bulbe inférieur… d’un autre sablier que tu ne sais même pas où il est (ni où… ni quand, d’ailleurs !)
Là, tu te dis que je plaisante et que je fabule… pas du tout : ça existe !
Bon… il vaut mieux vérifier avant que tu as bien ta carte de crédit avec toi, parce que, là-bas, on sait jamais ce qu’on va trouver… Mais le passeport, c’est pas la peine : on t’en donne un tout neuf en arrivant. Attention, il fait un peu chaud, au passage.
Il paraît que les bosons, les muons et les gravitons trouvent ça super pratique et super confortable. Ils ont fait ça une fois, déjà (il y a longtemps… un peu plus de 13 milliards d’années) et ça a donné ça : l’univers où nous sommes, avec la putain de société pourrie où nous vivons, les beurs, les chinois, les roumains et tout ça !
Bon… je ne sais pas si on peut jouer au foot, ou si ils ont Jean-Pierre Pernaud à la télé, là-bas, mais ça vaut peut-être le coup d’essayer.
— Wana — 28/08/2010 —
(*) quand tu penses qu’il m’a fallu plus d’une heure pour écrire et vérifier l’orthographe de ce texte, on se demande : qu’est- ce qu’on attend pour être heureux ?