
Une autre facétie (un peu plus “coton”…)

Charger les mots d'essentiel – Charger les sots démentiels

Une autre facétie (un peu plus “coton”…)

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La “une” de Minute (13/11), donc … (si vous le voulez bien …):
“Maligne comme un singe : Taubira retrouve la banane”
==> Molitor* ? Viré ! Cul nu, gégène, sa bite au baranne ! — “Maman !”
* Molitor : Directeur de la publication
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Interview, dans lemonde.fr (14/11) de l’écrivain martiniquais Patrick Chamoiseau, avec cette citation :
“Les racistes n’ont plus de refuge”
==> La peur futile des gens très cons
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La presse (17/11) :
“Hollande bat le record d’impopularité”
==> Prolo, riche… Pareil début de mandat ? LOL !
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A propos de foot, lemonde.fr (19/11) cite Jean-Cyrille Lecoq, psychologue du sport :
“Les Bleus sont touchés dans leur orgueil”
==> Nul ! Blessure de la gloire : tous sont échus.
==> Urgent : sous les douches, ils auront le blé.
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Avant le match retour contre l’Ukraine, lemonde.fr (19/11) pouvait titrer :
“Hollande et l’opposition derrière les Bleus”
Après le match, sans ajouter ni retrancher une lettre :
==> Oh ! La pole position rend réel le tir des Bleus !
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Titre du monde.fr, le 19/11 :
“Mondial : l’équipe de France réussit l’impossible”
==> Ils font le miracle à Dédé *, qui supprime les bonis !
* Dédé, c’est Didier Deschamps(D.D.)
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Wana – 20/11/2013
Ce désir qui s’amarre
Désir qui se cramera
Désir amer… Ça risque
De craquer, si sa rime
Marque sa crise d’ire !
Mais que désirer ? Car
Sa crise qui merdera
Smicarde erre, quasi
Misère (craque-radis),
Qui a de rares mercis,
Rasa ce “Sir” merdique,
Sacré “Sir d’Amérique” !
Rare cas si merdique
Merdes à qui rira sec
Marie Darrieussecq
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Wana – 13/11/2013
(mise à jour du 12/11/2013)
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Titre du monde.fr, le 22/10/2013 :
“L’aspirine future arme anti cancer ?” *
==> Cancer au FN, triste Marine, l’air pue !
==> FN, la tumeur ! Parti arien cancérisé
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Autre anagrammalgame du même titre, qui fait écho à une autre info du jour:
« L’aspirine future arme anti cancer ? »
==> France : un rat ! Le pisteur américain !
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La presse, le 30/10 :
« Les otages sont libres »
==> Ose gros tas en billets
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Le titre de cet article du blog « Je ne pense qu’à ça », sur lemonde.fr (31/10), m’a fourni, à partir du mot « abstinence », plusieurs anagrammalgames rigolos et (un peu) auto référents, mais sans véritable sens :
Pénaliser le client, une loi liberticide ?
==> L’abstinence. Il écrit le délire oulipien.
==> L’abstinence. Il relit ce délire oulipien.
==> L’abstinence : liciter le délire oulipien !
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Puis ces deux phrases (tendancieuses, bien sûr !)
Pénaliser le client, une loi liberticide ?
==> Lier poil et abstinence, le lien ridicule !
==> Péril, abstinence et loi : le lien ridicule !
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Enfin, j’ai trouvé ça, qui me permet de récupérer le « rog » présent dans le titre :
Pénaliser le client, une loi liberticide ?
==> Élire l’abstinence, l’épicurien le doit-il ?
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Titre d’un billet du blog « Passeur de sciences » (lemonde.fr)
« La peste, une maladie ré-émergente ? »
==> La muerte ramène le piège et danse
==> Amer, Dieu le Père, ganté, se lamente…
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Titre du monde.fr, le 05/11/2013
(quelques variations sur le thème du levier)
« Les derniers leviers pour alléger ses impôts »
==> L’esprit se lasse pour relever le monde si gris
==> Pistes grillées pour relever le monde rassis
==> Résister, glisser l’appui, relever le monde… SOS!
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A propos de prostitution, le monde.fr résume un débat avec Françoise Gil, sociologue, auteure de « Prostitution : fantasmes et réalités » (ESF éditeur, 2012) par ce titre (31/10/2013) :
« Pénaliser le client n’arrangera strictement rien »
==> Arpenter sans calter ni gémir. Entraîner le client !
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Titre du monde.fr, le 05/11/2013 :
« Le sport et la finance font bon ménage »
==> Foot, tennis : argent en place. On flambe !
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Un appel vers un article du monde.fr (05/11/2013)
« Bayrou et Borloo officialisent leur union »
==> Ô oui ! Finie l’esbroufe ! Y a contrat ! (brouillon)
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D’un titre du monde.fr (06/11/2013)
« Bill de Blasio, l’agitateur de New York »
==> We like it ! A good, brillant, busy leader !
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Dédicace spéciale à Fréderic Beigbeder
qui signe, dans lemonde.fr (06/11),
une tribune intitulée :
« Prostitution : halte au triomphe de l’interdit ! »
==> Un traitre de philosophe… A-t-il tout dit ? Mentir !
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Titre du monde.fr (07/11/2013)
« Twitter entre en bourse en fanfare »
==> Site web en erreur ! Effarant, ton net !
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Ce titre, relevé sur “Sciences et Avenir” (8/11/2013) :
« Physique quantique : la première “molécule” de lumière »
est accompagné du chapô suivant :
Des scientifiques sont parvenus à unir ensemble deux photons, édifiant ainsi l’équivalent d’une molécule.
Une sorte d’ “extension du domaine de la lutte” pour le “mariage pour tous”, quoi…
« Physique quantique : la première “molécule” de lumière »
==> Quel miracle que le si pur hyménée, qui a primé le doute !
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Cet article du monde.fr (09/11/13) parle plus de santé humaine que d’entomologie.
Mais, attention : comme les fourmis les cafards et les cancrelats ont vocation à nous succéder, dans la domination de la planète, d’ici 100 ou 200 000 ans peut-être… faudrait pas leur pourrir le terrain !
« Un appel à agir contre les pesticides »
==> Pacte inégal pour les insectes, pardi !
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Elisabeth Lévy, à l’initiative de la publication du « manifeste » dans « Causeur », écrit dans Le Monde (10/11), pour fustiger la réaction de rejet d’une partie de l’intelligentsia (de gauche), qu’elle appelle « Les gardes roses du nouveau puritanisme »
Je propose une formule pour obéir à l’injonction de ces puritains, de refréner ce « démon » qui nous « habite » (en un seul mot):
« Les gardes roses du nouveau puritanisme »
==> Vu ! Nous resterons sur pause à l’âge de midi !
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Titre d’un entretien avec l’anthropologue et ethnologue Philippe Descola (lemonde.fr, 11/11/13):
« L’obsession de la découverte n’est pas universelle »
==> Dans l’oeil ouvert, un socle de vérités ne blesse pas
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Titre du monde.fr (12/11):
« L’économie saisie par le doute »
==> L’opacité rusée sied à mon œil
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Wana – 12/11/2013
Wanagramme accueille, en ce premier vendredi de septembre 2013, un texte de Camille Philibert-Rossignol :
What the fuck, the boots of Wonder Woman ?.
En échange, Camille publie sur son propre blog la pelle est au tractopelle ce qu’est la camomille à camille un texte de Wana : La ballade du bidon, composé pour illustrer une tranche de la vraie vie.
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What the fuck,
the boots of Wonder Woman ?
Comme Monet, le barbouilleur aux yeux cataracteux, celui qui s’est obstiné à peinturlurer longuement des nymphéas en marmonnant – en espérant que de tant d’efforts, il sortirait quelque chose, comme ce Monet je me lance dans la peinture. Enfin, peinture, c’est un bien grand mot. Je me lance dans une espèce de peinture d’un fait sociétal, la passion pour les chaussures. Plus exactement, la passion pour les bottes. Et encore, pas n’importe quelles bottes, celles de la Wonder Woman des origines et du Golden Age, la Wonder Woman originelle. Aux bottes originales, un peu écuyères, réussissant la fusion de styles terre à terre, athlétiques et sexy.
– Voilà, ça c’est fait, l’objet de ce vase communicant de septembre est enfin posé.
Portée par un espoir teinté de teintes vives, je gribouille nonchalamment quelques lignes en espérant secrètement que de tant d’efforts, il va en sortir quelque chose. Au moins un truc. Et comme dans mes vases communicants antérieurs, je n’ai pas tout révélé de la plus grande super-héroïne de toutes les galaxies, ça va dégager.
– Le préambule et l’introduction, c’est fait. On passe au corps du texte et à la ligne suivante.
Quelle est la pointure des bottes de Wonder Woman ?
Ça n’a pas été facile à trouver, mais quand même… Un économiste a analysé des données sur les taux de croissance de jeunes caucasiens, nés entre les années 1870 et 1980. One cm tous les 10 ans, en moyenne, leurs tailles a augmenté rapido durant la période englobant les deux guerres mondiales et la crise de 1929. Comme d’hab dans ce genre d’études, il y a zéro données précises concernant les femmes, que des données parcellaires. Mais bon, ce sont des women qui ne sont pas Wonder, donc on ne va pas en faire tout un plat. Les progrès dans la lutte contre les maladies, ceux qui se reflètent dans la descente de la mortalité des bébés, ces progrès déterminent aussi dans cette augmentation de la taille”. Pour revenir à nos moutons, en 1942, WW mesurait 1m87. Déjà bien au dessus de la moyenne des américain-e-s. Plus grande que ses contemporaines, quelle étaient la pointure de ses panards de déesse ? De surcroit, étaient-ils aussi grands que ceux de Berthe, la Berthe du Vieux Monde ( une autre big women dans son genre )? Pour déterminer précisément la pointure de WW, j’ai opté pour une norme de type international, l’ISO 3635 ; et laissé de côté la EN 13402 qui ne concerne qu’un continent incontinent, un continent usé dont la puissance expansionniste n’est qu’un lointain souvenir qui résonne hélas encore à nos oreilles saturées.

Combien mesurent les pieds de WW ?
Fastoche : appliquer la règle suivante. Taille de pointure = 1,5 × ( taille corporelle en centimètre + 1 ). Faire le calcul, puis prendre la valeur entière la plus proche du résultat (à la demi-pointure près si besoin). Résultat = 28,20 cm. Ce qui correspond à une pointure de 44,5 en taille française ou ce qui semblerait plus logique à du 10,5 en taille yankee. Restons donc pour plus de clarté sur la taille française.
– Personnellement je n’ai rien contre écrire entièrement ce texte en anglais, mais ça risquerait de vexer une partie de mon fan-club qui ne maitrise pas encore totalement «my tailor is rich». En revanche, je l’avoue, je suis totalement opposée à l’idée de rédiger en ricain. Je choisis donc une voie médiane, la langue maternelle où je stagne résolument, la langue de Scapin, Sand et Salon. C’est un vrai parti pris d’auteure. Et pas juste parce que c’est plus peinard. Ah ça non. Na !
– Reprenons le fil du récit. Wonder Woman se détache de l’univers des super-héros-héroïnes par son statut de Staaar. Et désormais aussi par la stature de sa pointure, nettement plus grande que celles d’autres stars, ricaines ou frenchy. Laissons parler les chiffres qui ont par moment beaucoup à dire. Eva Longoria : 36. Amélie Poulain : 37. Pamela Anderson : 38. Laeticia Casta : 38. Britney Spears : 38. Clara Morgane: 38 (voir 37, y a débat). A confirmer : J-Lo : 39. Eva Mendes: 40. Monica Bellucci : 41. Rihanna: 40, ( y a une source alternative qui dit 38. M’enfin en même temps c’est un mauvais exemple paske elle le dit elle même dans une ITW qu’elle fait du “9”). Pointure de Wonder Woman : 44,5.
Un débat annexe est lancé sur Sarah M Gellar qui ferait du 37, (sur cette sujette, un fétichiste du pied scribouille sur un forum spécialisé – c’est marrant car je préfère le 37 en général et mes stars préférées sont celles qui ont les plus gands pieds….moi j’y croit pas que il y ai autant de star qui font du 40 ! Quelles sont vos sources ? Et Adriana Karembeu ??? Du 45?).
En conclusion, alors que la logique démontre que Wonder Woman devrait chausser du 44,5, que découvrons nous dans ses premiers comics ? A tout casser, elle fait visuellement un petit 37. Et encore je suis large. Peut-être même du 36,5. Sérieusement comment une femme de sa constitution peut-elle se livrer à autant d’activités athlétiques avec de si petites semelles ? C’est pas sérieux. C’est visiblement pour des raisons graphiques que le dessinateur l’a affublé de pieds réduits. D’où ses petites pompes, mignonnettes soit, mais qui me laissent songeuse quand à leur praticité opérationnelle.
– Pourquoi ne pas faire un détour dans l’espace et le temps, histoire d’allonger la sauce. Et hop, rewind dans le passé, ses histoires, ses grandes pompes, ses mites. Ouverture d’une parenthèse opportune, si ce n’est opportuniste…
Le grand pied a-t-il été fatal à la féminité de Berthe ?
Réhabilitons en cavalant Berthe au Grand Pied, une mérovingienne d’y a longtemps, longtemps. Elle a mis bas un baby Charles. Son époux avait souvent des pépins, il a tenté de divorcer afin de se maquer avec une jeunette au doux nom d’Angla, avec laquelle il était à tu et à toi, car elle était tatouée. C’était la rejetonne de Téograde. Les ossements de tout ce beau monde gisent à Saint Denis (neuf trois). Clic, clock; clic, clock; clic, clock, la Berthe a eu son blaze à cause d’Adenet le Roi*, un troubadour qu’a pondu un rouleau parcheminé « Li roumans de Berte aus grands piés ». En vrai, c’était pas une question de taille de pied, elle boitait la queen. (Alors qu’elle ne s’était pas tiré une balle dans le pied, puisqu’on en n’était qu’aux hallebardes.) Dans ses chausses pointues de velours, de cuir, ou dans ses bottines, clic, clock; clic, clock; clic, clock; elle claudiquait. Dans ses chateaux forts où régnaient aussi des champignons moisis et des araignées en pagaille, on l’entendait grimper du fond des douves : clic, clock; clic, clock; clic, clock… Telle la déesse germaine, Perchta, et une autre reine, Pédauque. Ainsi que d’autres donzelles de luxe, dont les noms ne commençaient pas systématiquement par la lettre P, mais qui avaient toutes la déambulation déglingue. Ce qui signale un être faisant lien entre la terre et des univers annexes. Des univers connexes. Genre, le lien entre la terre et le ciel. Pour conclure, Berthe n’est pas une régnante qui dégage une image très sexy, car son qualificatif de «aux grands pieds» lui enlève aussitôt 18 points de féminitude. Contrairement aux fillettes doublement bridées du début du siècle dernier, les bridées des yeux et des pieds. Leurs pieds étaient bien arrangés dès le berceau pour soit-disant amplifier leur sex-appeal. Fin de la parenthèse.
Wonder Woman, la super-héroïne qui fait le lien entre le ciel et la terre, grâce à ses super-boots.
Aujourd’hui, où la question du look est vitale, il semble que l’on puisse puiser dans celui de la déesse du Golden Age une inspiration régénératrice. Wonder Woman apparaît pour la première fois en décembre 1941 dans All Star Comics #8 et grâce à un prompt triomphe, elle devient personnage récurrent de Sensation Comics dès janvier 1942. C’est le moment d’effleurer enfin le vif du sujet et de redescendre sur terre. Des bottes rouges et jaune d’or qui bottent. Certes. Mais une légère appréhension retient ma main sur le clavier de mon portable argenté. Qu’est-ce à dire ? Un doute m’assaille, je suis subitement partagée sur WW, je l’adore c’est vrai. Mais en même temps, je ne sais pas, elle est tellement parfaite. Serait-ce un pincement de jalousie ? De surcroit, perso, je ne suis pas très botte. Plus bottine. Voir godillot, ou grole. Vrai, deux ou trois paires de bottes doivent trainer au fond de mon placard à balais. Confidence pour confidence, je suis plutôt Dock, enfin Martins.
Et la Wonder, c’est quoi donc la marque de ses pompes ? Pas fastoche à déterminer.
Ses bottes ont un esprit “botte d’écuyère”, dans la grande tradition russekof. Une bordure jaune les orne en haut, telle un bandeau en forme de tiare qui signerait l’ascension de la créature. Alors que la classique botte cavalière, masculine et toute droite, bouffe la cheville. La cheville est un élément plus qu’essentiel de l’érotisme européen du 19ème siècle. La botte d’écuyère de tradition russe est légèrement fendue sur le devant du tibia et se termine pas un petit pompon (mais quand on le touche, il ne porte pas chance, celui-là). Elle dessine subtilement le mollet contrairement à la cavalière. Regainer la cheville pour lui donner son pouvoir érotique, tel est le défi de cette botte. Les bottes de la Wonder de 42 sont subtilement marquées à la cheville, l’endroit qui en est le plus choupinou. Notons que le talon, plus ou moins talon, y contribue itou. Un truc phallique de derrière la semelle.
Comment gainer la cheville pour potentialiser son sexisme ?
La solution moderne de 1900, c’est la fermeture Eclair, elle gaine la cheville, même si elle est petite et cousue à l’intérieure. (Et ne me parlez pas du zipp de Sticky Finger, un zip légèrement ouvert jusqu’au milieu d’un 33 cm de daube, 33 cm d’un groupe sénile déjà avant de l’être. De surcroit filmé en live quelques décennies plus tard par un ritalo-rocain qu’aurait mieux fait de tourner le live d’une tomate massacrée par une fine lame dans une performance Basilic). L’invention de la fermeture métallique commercialisée par Mister Eclair a fait énormément pour le glamour de nos bottes depuis plus de 36 500 jours. On ne le remerciera jamais assez. Thank Mister Eclair for your idea ! Amazing for the amazones ! En se qui concerne le pouvoir du talon (sa hauteur garantit-elle son glamour, voir plus si affinités?), je propose de lui faire un sort une nuit prochaine. En attendant, je soupçonne grave les bottes de la super-meuf d’avoir été créées par une grande Créatrice rital. Dont le nom ne commence pas par B comme Berthe, mais par P.
• Sauf que les Martins, c’est mieux. Surtout pour se balader sur les docks.Y en avait dans cette très jolie boite en carton kraft. Du coup, ça sert de coffre à rangement de matos. C’est pratique.Non seulement les groles rosbifs sont classes, mais l’emballage assure grave.

– Pas trop finale comme End, finalement…Pfff..Tentons une chute vraiment tombante. Allez…Pfff…
Finalement ce serait mieux de finir par une créature surnaturelle faisant elle aussi la jonction entre les cieux célestes et la terre qui est toujours plus basse qu’on ne croit. De clore par une figure de proue pâlichonne, sculptée dans un éternel héroïsme, une sorte de déesse qui chaussée de spartiates, qui s’élance sans fin au-delà de la condition de la femme qui n’est pas brillante de nos jours. Un peu mieux qu’hier, soit, mais bon. De par les mers et les tempêtes, par delà du défilé des Thermopyles et de ses dommages collatéraux, et plus loin encore jusqu’aux confins ultimes des galaxies inexplorées de l’autre côté des systèmes solaires, elle prend son envol; elle flotte; elle reste, figée. Big up pour les spartiates !
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Notes annexes au cas où ça intéresserait des lectrices *
A.“Berte au grant pié” est également citée dans la Ballade des dames du temps jadis de cette racaille de Villon, 3 ème strophe :
La reine blanche comme lis,
Qui chantait à voix de sirène,
**Berthe au grand pied**, Biétris, Alis,
Haremburgis qui tint le Maine,
Et Jeanne la bonne Lorraine
Qu’Anglais brûlèrent à Rouen
Où sont-ils, Vierge Souveraine ?
Mais où sont les neiges d’antan ?
B. A l’entrée dans l’Âge d’Argent, Wonder Woman fait partie des trois personnages à toujours avoir sa propre série, avec Superman et Batman. Mais après les changements, la perte des artistes originels, un côté féministe amoindri et des spécificités du personnage, il y a une forte perte d’intérêt pour le Comic Book.
C. Super Man et Wonder Woman ont-ils sexté ?
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Un échange, puisque Tiers Livre et Scriptopolis sont à l’initiative d’un projet de vases communicants : le premier vendredi du mois, chacun écrit sur le blog d’un autre à charge pour chacun de préparer les mariages, les échanges, les invitations. Circulation horizontale pour produire des liens autrement…
“Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre.”
La liste des participants se trouve sur un blog dédié à ce seul usage, tenu à jour, mois après mois, par Brigetoun : qu’elle en soit remerciée !

Cette histoire (vraie) a été racontée par Le Canard Enchaîné, il y a (au moins) 40 ans. C’était un extrait de la délibération du conseil municipal. Ici, le nom de la commune a été inventé (pour la rime…!)
Ça se fête , “Sept-un*sept-un-sept” !

La pédophilie, c’est pas bien ! Mais, pour le Pape, dire que la pédophilie c’est pas bien… c’est pas bien ! Un bon pédophile, est un pédophile qui n’existe pas ! Vu ? Il faut laisser les pédophiles se démerder en secret, avec Dieu et leur conscience. Le jugement de Dieu est supérieur au jugement de l’Homme.
Et le jugement du petit garçon ? Ah, ben tiens ! Justement : on s’en branle !


Le texte qui suit a été composé lors d’une séance d’exercice d’écriture, pendant la semaine des Récréations de l”Oulipo, à Bourges. C’est, en quelque sorte, un poème auto-référent, puisqu’il raconte pourquoi et comment il a été composé.
